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Caroline Laborde a traversé les Pyrénées à vélo

Le défi sportif de Caroline Laborde, Béarnaise au grand cœur

Caroline Laborde, véritable enfant du Béarn et fervente défenseuse de sa région, s'est lancée dans un défi exceptionnel : la traversée des Pyrénées à vélo.

Cette sportive aguerrie, déjà habituée aux marathons, a décidé de repousser ses limites physiques, mentales et émotionnelles en réalisant le Raid des Pyrénées en solitaire.

Une préparation intensive pour la traversée des Pyrénées

Depuis novembre, elle s'est préparée intensivement malgré un hiver rigoureux en Béarn.

Du 14 au 20 juin, elle a parcouru 800 km et franchi 28 cols majestueux, reliant Hendaye à Cerbère.

L'épreuve fut exigeante, demandant un effort tant physique que mental. Caroline a puisé sa force dans les paysages sublimes et le soutien des personnes rencontrées en chemin pour ne rien lâcher et aller jusqu’au bout de son défi.

Une traversée solidaire sous les couleurs de l’association MIRALUTZ

Ce périple, Caroline l’a réalisé pour sa sœur Céline, qui se bat contre la maladie.

En portant haut les couleurs de l’association MIRALUTZ, fondée par Sonia Aristouy et reprise par son mari Nicolas, Caroline a souhaité soutenir leurs actions qui visent à accompagner les personnes malades et leurs proches en leur proposant des activités sportives et de bien-être.

Un défi relevé avec succès

Initialement confidentielle, cette aventure a rapidement attiré l’attention sur les réseaux sociaux, où Caroline a partagé son parcours quotidien, inspirant une vague d’amour et de solidarité.

Cet engouement a permis de largement dépasser les objectifs fixés pour la cagnotte de l'association MIRALUTZ.

“J’ai véritablement reçu une vague d’amour. Cela a même donné envie à plusieurs d’entre eux de réaliser cette magnifique traversée “ confie Caroline

À travers cet exploit, Caroline Laborde, sourire aux lèvres, nous rappelle l’importance de poursuivre nos rêves et de vivre avec passion et détermination.

Les Ambassadeurs du Béarn sont fiers de compter parmi ses fidèles représentants des “nanas qui déchirent” comme Caroline.