Ce printemps a été riche en mises en avant du Béarn à la télévision. Sans parler des films et téléfilms, la France entière a pu découvrir ou re-découvrir le Béarn à travers des émissions à forte audience :

L'animateur globe-trotteur Raphaël de Casabianca partait à la découverte des Pyrénées-Atlantiques avec à ses côtés le comédien et humoriste Ahmed Sylla.
Leur périple les a menés de la vallée d'Aspe au Pays Basque. Ils se lancent à la découverte de ces terres chargées d’histoires. Ils sont accueillis par des hommes et des femmes amoureux de leur bout du monde, et attachés à transmettre leur terroir.
Un tournage qui a pu a pu voir le jour grâce à l’appui de l’Agence du film 64.

La chasse aux trésors démarrait à Bayonne puis nous entraînait à la découverte des Pyrénées-Atlantiques, sur une zone de jeu qui s'étendait du Pays basque au Béarn, depuis Bayonne jusqu'à Oloron-Sainte-Marie et en passant par la cité fortifiée de Navarrenx et les villes de Salies-en-Béarn et Sauveterre-de-Béarn. Les participants devaient résoudre plusieurs énigmes et percer les secrets du jambon de Bayonne, des "gaves" ou des routes de la transhumance.
Cette émission était à l’initiative et soutenue par le Conseil départemental en lien avec l’AaDT pour l’accueil des équipes TV.

Le Béarn a été traité 3 jours d’affilée. Il a été choisi comme destination pour "le Printemps du 13h" et présenté par Marie-Sophie Lacarrau.
Le premier sujet avait pour sujet le Pic D’ossau, le second le Béarn médieval et le dernier les Thermes de Salies.
Cette mise en lumière du Béarn n’est pas nouvelle. Le territoire a déjà donné lieu à de nombreux tournages de films ou téléfilms. Mais en ces temps de sortie de crise sanitaire, où l’on espère voir revenir les touristes cet été, elle est la bienvenue. Lors d’une interview dans la République des Pyrénées, Jacques Pedehontaà, président de l’Agence d'Attractivité et de Développement Touristiques, précisait « Hors presse locale bien entendu, c’est le 22e sujet réalisé en Béarn depuis le début de l’année par la presse nationale ou internationale". Cela représenterait l’équivalent de plus de 700 000 euros de retombées pour le secteur.

Ces tournages servent de vitrines pour le Béarn. Ils génèrent des retombées culturelles, économiques et médiatiques directes par leur présence et indirectes par l’attraction touristique qu’ils engendrent : hébergement, restauration, location de véhicule.
Un bel été touristique en perspective ?